Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les soeurs Agnès et Margareth Smith, passionnées par les études bibliques, découvrent, sous la bibliothèque du monastère de Sainte-Catherine, un palimpseste exceptionnel : il s'agit de l'une des plus anciennes copies des Evangiles écrites en syriaque au cours du IIe siècle. Cette découverte allait provoquer débats et polémiques.